Accélération du trajet moteur
Pour augmenter l'appui, la résistance propulsive, il ne suffit pas de pousser vite, il faut accélérer la vitesse de la main ( R=KSV²).
Dans un second temps, on peut lier l'accélération à une demande d'expiration. Cela donne du rythme et prépare le nageur au travail d'une inspiration rapide.
L'accélération sera relativement rectiligne dans un premier temps pour orienter la poussée vers l'arrière.
Ensuite, avec l'acquisition de sensations plus fines par du travail de balayages, le trajet deviendra sinusoïdal.Nous observerons 3 godilles ou balayages et non plus une accélération mais 3 accélérations distinctes.